Aujourd’hui plus que jamais, les questions du futur du travail (ou future of work) et des nouvelles façons de travailler se posent. Derrière ces expressions à la mode se cachent l’automatisation de certaines tâches, le développement de l’intelligence artificielle et l’avènement de l’entreprise digitale. Il est donc obligatoire de se demander à quoi va ressembler le futur du travail. Comment répondre à de nouveaux enjeux pour ne pas rester bloqué en 2019 ?
Le future of work semble loin pour certains. D’autres sont déjà plongés en plein dedans parce qu’ils n’étaient plus en phase avec les méthodes de travail d’aujourd’hui. Ces explorateurs du futur ouvrent la voie vers une nouvelle manière de travailler et de concevoir le monde de l’entreprise.
Plusieurs raisons peuvent être à l’origine d’une réflexion sur le futur du travail. À commencer par la transformation digitale, l’essor du travail freelance et l’arrivée régulière de nouveaux métiers, inconnus encore hier.
Le future of work ne veut pas forcément dire la fin du salariat. Le travail va sans nul doute évoluer. Tout comme la révolution industrielle a apporté son lot de changement entre le XVIIIe et le XXe siècle, la révolution numérique bouleverse déjà le monde du travail.
Ce sont bien les manières de travailler qui sont vouées à évoluer et ce dès demain :
Pas la peine de succomber aux prédictions alarmantes du type « les robots vont gouverner le monde et nous réduire en esclavage ». Le futur peut être bien plus optimiste si le travail devient davantage un moyen de s’épanouir, d’utiliser son imagination et sa créativité dans des tâches plus intéressantes que celles pouvant être effectuées par des machines.
Il est impossible de prédire l’avenir. Il est cependant possible de s’y préparer et d’anticiper les transformations afin de ne pas dégrader la qualité de vie au travail et de ne pas perdre en compétitivité :
Les changements liés à la transformation numérique sont inévitables. Aux Etats-Unis, le pays ayant toujours un temps d’avance sur nous, le nombre de freelances a dépassé le nombre de personnes employées en CDI en 2017.
L’économie est cyclique, elle l’a toujours été et le sera toujours. La destruction de certaines activités est étroitement liée à la création de nouvelles. C’est le processus de destruction créatrice déjà décrit par Joseph Schumpeter en 1942 et contre lequel personne ne peut rien.
Mieux vaut s’y adapter et voir le futur du travail d’un œil positif tout en gardant son esprit critique.
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